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Comment valider votre certification périodique sereinement ?

Dernière mise à jour : 24 mars

Depuis le 1er janvier 2023, une nouvelle obligation est entrée en vigueur pour de nombreux soignants : la certification périodique des professionnels de santé​

Si vous êtes médecin, infirmier, pharmacien ou appartenant à l’une des professions concernées, vous devrez valider régulièrement vos compétences pour continuer à exercer. Qu’est-ce que cela signifie concrètement ? Pourquoi cette mesure a-t-elle été instaurée et comment s’y conformer sans stress ? Nous répondons à toutes vos questions pour vous aider à aborder cette certification périodique de façon sereine et professionnelle.




Qu’est-ce que la certification périodique des professionnels de santé ?


La certification périodique des professionnels de santé est une obligation légale imposant à certains soignants de justifier tous les six ans du maintien de leurs compétences et connaissances professionnelles​.

Inscrite dans la loi depuis 2019 et effective dès 2023, elle vise à s’assurer que les praticiens mettent à jour leurs savoirs et améliorent leurs pratiques tout au long de leur carrière. En pratique, chaque professionnel concerné devra, sur une période donnée, accomplir un ensemble d’actions de formation et d’évaluation afin de valider sa certification auprès de son ordre professionnel.


Cette certification périodique est directement liée au développement professionnel continu (DPC) existant, mais va plus loin en englobant d’autres aspects (comme la qualité de la pratique ou la santé du professionnel lui-même). Prévue par l’ordonnance du 19 juillet 2021, elle a été officiellement mise en place à partir de 2023​.

Autrement dit, il ne s’agit pas d’un simple diplôme à obtenir une fois, mais d’un processus continu de maintien des compétences, contrôlé par les instances professionnelles. Tous les 6 ans, votre ordre vérifiera que vous avez rempli les critères de certification fixés pour votre métier.


À noter : pour les professionnels déjà en exercice au 1er janvier 2023, la première période de certification a été exceptionnellement allongée à 9 ans pour laisser le temps de s’adapter au dispositif​.


En résumé, la certification périodique oblige les professionnels de santé concernés à se former tout au long de leur vie active et à en apporter la preuve régulièrement. Elle s’inscrit dans une démarche de garantie de la qualité des soins délivrés aux patients, en plus d’être un outil d’accompagnement des carrières médicales.


Pourquoi la certification périodique a-t-elle été mise en place ?


Plusieurs raisons ont conduit à la mise en place de cette certification périodique.


D’abord, il s’agit de renforcer la qualité des soins et la sécurité des patients. Dans un contexte d’évolutions rapides des connaissances médicales et des techniques, il est crucial que les praticiens actualisent régulièrement leurs compétences. Obliger une remise à niveau périodique doit permettre de maintenir un haut niveau d’expertise dans chaque profession de santé, au bénéfice direct des patients.

Cette démarche s’inspire d’ailleurs de pratiques existantes à l’étranger : de nombreux pays européens imposent déjà une formation continue obligatoire aux médecins (Allemagne, Autriche, Pologne, etc.)​.


Ensuite, la certification périodique répond à la volonté des autorités de valoriser le développement professionnel continu tout en le rendant plus efficace. Le dispositif du DPC, en place depuis 2013, n’avait pas pleinement atteint ses objectifs de participation. En effet, une évaluation de 2022 a montré que moins d’un quart des professionnels visés avaient satisfait à leur obligation de DPC sur la période 2020-2022​.

Face à ce constat, l’idée a émergé de créer un dispositif plus global et contraignant pour inciter l’ensemble des soignants à se former. La certification périodique vient ainsi combler les lacunes du système précédent en élargissant le spectre des actions reconnues et en impliquant directement les ordres professionnels dans le contrôle.


Enfin, cette certification inclut des objectifs novateurs, comme l’amélioration de la relation avec les patients ou la prise en compte de la santé personnelle du praticien dans le maintien de ses compétences​.


Cela reflète une approche plus holistique de la formation continue : il ne s’agit pas seulement d’accumuler des connaissances médicales, mais aussi d’adopter de bonnes pratiques relationnelles et de veiller au bien-être du soignant lui-même. En somme, la mise en place de la certification périodique poursuit un double but : garantir des soins de qualité pour la population et accompagner les professionnels dans une démarche d’amélioration permanente de leurs compétences tout au long de leur exercice.


Qui est concerné par la certification périodique ?


La certification périodique ne concerne pour l’instant que certaines professions de santé bien définies. Il s’agit des sept professions disposant d’un ordre national​ :


liste des professions

  • Médecins (généralistes, spécialistes, y compris les médecins du travail et les remplaçants)

  • Chirurgiens-dentistes

  • Sages-femmes

  • Pharmaciens

  • Infirmiers

  • Masseurs-kinésithérapeutes

  • Pédicures-podologues


Si vous appartenez à l’une de ces catégories professionnelles, vous êtes soumis à l’obligation de certification périodique. Cela est valable quel que soit votre mode d’exercice (en établissement de santé, en libéral, mixte…) et même si vous cumulez emploi et retraite​.


En revanche, les autres professions de santé non organisées en ordre (par exemple les psychologues, orthophonistes, les ostéopathes, etc.) ne sont pas concernées à ce jour.

Il existe quelques cas particuliers d’exonération partielle prévus par les textes. Le décret de mars 2024 stipule que certains professionnels pourront être partiellement dispensés de certification périodique, notamment ceux qui n’exercent pas d’activités de soins directes auprès des patients (par exemple un médecin exclusivement chercheur ou administrateur) ou ceux qui sont déjà soumis à des formations obligatoires spécifiques conditionnant l’exercice de leur profession​.


En d’autres termes, si votre métier comporte déjà une recertification périodique propre (hors DPC) ou si vous n’êtes pas en contact avec des patients, la charge de cette nouvelle obligation pourrait être allégée. Pour la majorité des praticiens cependant, aucune dispense : il faudra bel et bien satisfaire à la certification tous les 6 ans.


Soulignons que la certification périodique est inscrite dans le Code de la santé publique (article L4022-2 et suivants). Elle a donc un caractère obligatoire. Ne pas s’y conformer pourrait exposer le professionnel à des sanctions disciplinaires de la part de son ordre (bien que les modalités précises de contrôle et de sanction restent à définir). Il est donc fortement conseillé de prendre cette obligation au sérieux et de l’intégrer dès à présent dans votre gestion de carrière.


Comment se déroule la certification périodique ?


La certification périodique fonctionne par cycles de six ans.

Durant chaque cycle, le professionnel de santé doit réaliser un certain nombre d’actions de formation et d’amélioration, puis attester en fin de période qu’il a bien rempli les critères fixés.


Pour le tout premier cycle (2023-2031), une durée de 9 ans a été accordée aux professionnels déjà en exercice, afin de leur laisser plus de temps pour s’organiser​. Par la suite, chaque cycle sera de 6 ans pour tout le monde. À noter que pour un professionnel qui s’installe ou reprend son activité en cours de route, le cycle de six ans démarre à la date de son inscription à l’Ordre​.

En cas d’interruption longue de plus de trois ans (congé prolongé, expatriation, etc.), la période en cours pourra être suspendue ou recommencée afin de ne pas pénaliser le praticien.


Concrètement, que faut-il faire pendant ces six ans ?


Chaque professionnel va devoir élaborer un programme d’actions à accomplir, en s’appuyant sur un référentiel de certification propre à sa profession. Ces référentiels sont établis par les Conseils nationaux professionnels (CNP) de chaque spécialité, sous la méthodologie validée par la Haute Autorité de Santé​.

Ils détaillent les types d’activités considérées comme pertinentes pour maintenir les compétences dans le domaine concerné. Le professionnel a la liberté de choisir les actions qu’il réalise, en fonction de son exercice et de ses besoins, et en accord avec son employeur s’il est salarié​.


L’important est qu’au terme du cycle, il ait couvert tous les domaines requis par le référentiel.


En effet, la loi a défini quatre axes principaux sur lesquels doivent porter les actions de certification​ :

  • Actualiser les connaissances et les compétences professionnelles – Il s’agit de suivre des formations pour se tenir au courant des dernières avancées scientifiques, des nouvelles recommandations, des techniques innovantes, etc.

  • Renforcer la qualité des pratiques – Cela englobe les actions visant à améliorer la façon de travailler au quotidien : protocoles internes, démarche qualité, gestion des risques, retour d’expérience sur les erreurs, etc.

  • Améliorer la relation avec les patients – Ce volet porte sur les compétences communicationnelles et relationnelles : améliorer l’accueil, l’écoute du patient, l’annonce d’un diagnostic, la prise en compte de son ressenti, etc.

  • Mieux prendre en compte sa propre santé – Cet axe innovant encourage le soignant à veiller sur sa santé physique et psychologique (prévention de l’épuisement professionnel, visites médicales de prévention, équilibre de vie…) afin d’être en mesure d’exercer dans de bonnes conditions.


    les axes d'action pour la certification


Pour valider la certification, il faudra attester d’au moins deux actions réalisées dans chacun de ces quatre axes au cours des six ans​.


Autrement dit, on ne peut pas se contenter de tout miser sur la formation scientifique en négligeant les autres aspects : il faut progresser de manière équilibrée sur l’ensemble des compétences professionnelles. Les conseils nationaux professionnels élaboreront la liste précise des activités acceptées pour chaque métier, mais on sait déjà que de très nombreuses actions pourront compter.


De multiples formats d’apprentissage (présentiel, e-learning, lecture, évaluation clinique, etc.) peuvent être mobilisés pour accomplir les actions de certification périodique.


Bonne nouvelle, les dispositifs de formation existants s’intègrent dans la certification. Par exemple, les actions de DPC que vous réalisez (programmes de Développement Professionnel Continu), la formation continue classique (diplômes universitaires, séminaires, e-learning…), ou encore la participation à des démarches d’accréditation pour les spécialités à risque seront prises en compte dans votre parcours de certification​.

De même, d’autres activités pourront figurer dans le référentiel : bilans de compétences, VAE (validation des acquis de l’expérience), actions collectives en établissement, projets interdisciplinaires, etc...


Le but est de reconnaître un large éventail d’initiatives contribuant au développement des compétences. Vous aurez donc la possibilité de composer un programme personnalisé, en choisissant les actions les plus pertinentes par rapport à votre pratique.

Tout au long du cycle, il sera indispensable de tracer les actions réalisées. Un système de comptes individuels en ligne va être mis en place à cet effet : l’Agence du Numérique en Santé a été chargée de développer un téléservice « Certification périodique santé » pour informer les professionnels et centraliser ces informations​.

Chaque praticien disposera d’un espace personnel où il pourra enregistrer ses attestations de formation, certificats, diplômes ou autres justificatifs des actions menées. Ce carnet numérique de certification permettra aux ordres professionnels de contrôler, en fin de période, si l’obligation est remplie​.


Les détails techniques de ce dispositif sont en cours de finalisation (un décret précisant la gestion des comptes de certification est attendu prochainement​).

En attendant sa mise en service, il est conseillé de conserver soigneusement toutes vos preuves de formation (justificatifs DPC, attestations de participation, etc.) afin de pouvoir les renseigner lorsque la plateforme sera opérationnelle.



les activités de formation


Enfin, que se passe-t-il si vous n’avez pas rempli les critères au bout de 6 ans ? 


À ce stade (début 2025), les modalités de sanction ne sont pas encore officialisées. Toutefois, la certification périodique étant une obligation légale, il est probable qu’un manquement expose le professionnel à des mesures disciplinaires de la part de son ordre (rappel à l’ordre, avertissement, voire suspension du droit d’exercer en cas de manquement grave). L’idée n’est pas de piéger les soignants mais de les engager dans une démarche positive. Les ordres professionnels auront d’ailleurs un rôle d’accompagnement : ils pourront signaler en amont si un praticien semble en retard dans son parcours de certification afin qu’il se rattrape avant l’échéance. En résumé, mieux vaut jouer le jeu de la certification périodique et profiter du délai de 6 (ou 9) ans pour planifier sereinement vos actions, plutôt que de risquer une situation de non-conformité en fin de cycle.



Quel serait le rôle de l’Agence du DPC dans la certification périodique ?


L’Agence du DPC (Développement Professionnel Continu), officiellement nommée Agence nationale du DPC (ANDPC), est l’organisme public qui pilote depuis 2016 le dispositif de formation continue obligatoire des soignants en France​.

Elle finance et gère une partie des programmes de DPC pour les professionnels de santé, en particulier pour les libéraux et salariés des centres de santé. Concrètement, c’est via l’Agence du DPC que de nombreux praticiens s’inscrivent à des formations DPC et obtiennent une prise en charge financière de ces actions. On peut dire que l’ANDPC est l’opérateur central du DPC, chargé d’en coordonner l’offre de formation et d’en vérifier la mise en œuvre.


Quel lien avec la certification périodique ? En fait, la certification périodique intègre le DPC comme une composante de son parcours, mais ne se limite pas à celui-ci. Aujourd’hui, les professionnels de santé à ordre ont deux obligations parallèles : une obligation triennale de DPC (sur 3 ans, faire au moins deux actions de DPC validées) et désormais une obligation sexennale de certification périodique (sur 6 ans, remplir les critères des 4 axes)​​.

Fort heureusement, les actions réalisées peuvent compter pour les deux : si vous suivez un programme DPC indemnisé par l’Agence du DPC, cela coche des cases dans votre certification périodique en même temps. Il n’y a pas à dupliquer les efforts, les dispositifs sont convergents. Par exemple, effectuer une action d’évaluation des pratiques exigée par le DPC pourra aussi contribuer à renforcer la qualité de vos pratiques dans le cadre de la certification.


Toutefois, ce dédoublement des obligations a vocation à disparaître dans le futur. Un rapport de l’Inspection générale des affaires sociales (IGAS) publié en mars 2025 préconise en effet de supprimer l’obligation spécifique de DPC pour les professions à ordre, afin que la certification périodique devienne le dispositif unique de validation des compétences​.

L’agence du DPC verrait alors son rôle évoluer : au lieu de gérer une obligation à part, elle viendrait appuyer le fonctionnement de la certification (par exemple en finançant les formations qui y contribuent, en aidant à orienter les professionnels vers les actions pertinentes, etc.). Cette recommandation de l’IGAS s’explique par le constat que le système actuel du DPC est encore insuffisamment suivi (priorités de formation trop éloignées du terrain, lourdeur administrative pour agréer les organismes, etc.​)

L’idée serait donc de simplifier le paysage en unifiant DPC et certification périodique.

Pour l’instant, en 2025, on n’en est pas encore là : l’ANDPC continue d’opérer le DPC tel quel. Son site web (agencedpc.fr) recense les organismes de formation agréés et les actions DPC disponibles dans chaque domaine. En tant que professionnel de santé, vous avez tout intérêt à profiter du soutien de l’Agence du DPC pour remplir vos obligations : elle propose un catalogue de formations indemnisées, ce qui vous permet de vous former sans avancer de frais et en étant dédommagé de votre temps. De plus, l’Agence travaille en lien avec les Conseils nationaux professionnels et la Haute Autorité de Santé pour aligner progressivement les programmes DPC avec les référentiels de certification​.


À terme, on peut imaginer que l’ANDPC devienne un acteur clé de la certification périodique, garantissant la qualité et la pertinence des actions de formation suivies par les soignants.

En résumé, l’Agence du DPC joue un rôle d’accompagnateur financier et logistique dans la montée en compétences des professionnels de santé. La nouvelle certification périodique s’appuie sur l’existant : elle va utiliser les outils et les offres de formation du DPC, plutôt que de les remplacer. Restez donc attentif aux communications de l’ANDPC, car elles vous aideront à identifier les actions utiles pour votre certification. Et si des changements réglementaires interviennent pour fusionner DPC et certification, l’Agence du DPC sera au cœur de ce dispositif unifié.


Comment se préparer dès maintenant à la certification périodique ?


La mise en place de la certification périodique peut sembler ambitieuse, mais avec une bonne préparation vous pouvez en faire une opportunité de progression plutôt qu’une contrainte. Voici quelques conseils pour aborder sereinement cette nouvelle étape de votre vie professionnelle :

  • Informez-vous sur votre référentiel métier : Rapprochez-vous de votre Conseil national professionnel ou de votre Ordre pour connaître le référentiel de certification applicable à votre profession. Quels types d’actions sont recommandés ? Quelles priorités ont été fixées ? Plus vous aurez une vision claire des attentes, plus il vous sera facile de planifier vos formations.

  • Anticipez et planifiez sur 6 ans : Ne procrastinez pas en attendant la fin de cycle. Idéalement, répartissez vos actions de formation et d’amélioration tout au long des années. Par exemple, prévoyez de réaliser chaque année ou tous les deux ans au moins une action dans chacun des axes (scientifique, qualité, relation, santé personnelle). Cela vous évitera de courir après les attestations au dernier moment. Si vous êtes salarié, intégrez ces objectifs dans votre plan de développement professionnel en lien avec votre employeur​.

  • Tirez parti du DPC et des formations existantes : Utilisez les dispositifs déjà en place pour remplir vos obligations. Inscrivez-vous à des programmes DPC via l’Agence du DPC (beaucoup sont gratuits et indemnisés) ou à des formations continues proposées par des universités, sociétés savantes, etc. Ces formations comptent dans la certification, alors profitez-en pour développer vos compétences dans des domaines qui vous intéressent tout en satisfaisant aux critères officiels.

  • Documentez vos actions : Créez-vous dès maintenant un dossier personnel (même simplement un classeur ou un dossier informatique) où vous conservez toutes les preuves de vos formations et activités pertinentes. Chaque fois que vous terminez une formation, obtenez une attestation ou un certificat, et rangez-le précieusement. Notez la date, le thème, l’organisme formateur… Ainsi, lorsque la plateforme de certification en ligne sera opérationnelle, vous pourrez y transcrire aisément tout votre historique d’actions. Cela vous évitera le stress de rechercher des justificatifs épars plusieurs années plus tard.

  • Prenez aussi soin de vous : N’oubliez pas que l’un des volets de la certification concerne votre santé personnelle. Veiller sur sa santé physique et mentale fait partie intégrante du professionnalisme attendu. Concrètement, cela peut signifier par exemple effectuer vos visites médicales de prévention, suivre des formations sur la gestion du stress ou l’ergonomie, ou participer à des ateliers sur l’équilibre vie privée/vie professionnelle. En investissant du temps dans votre bien-être, vous remplissez une obligation réglementaire tout en prévenant l’épuisement – c’est gagnant-gagnant sur le long terme.


processus de préparation à la certification


En appliquant ces conseils, vous transformerez la certification périodique en un levier d’amélioration continue plutôt qu’une contrainte subie. Rappelez-vous que cette démarche vise avant tout à sécuriser et valoriser votre pratique. Chaque action de formation accomplie est un plus pour vous (compétences élargies, échange avec des pairs, évolution de carrière) et pour vos patients (soins mis à jour, meilleure communication, etc.). Plutôt que de voir la certification périodique comme une formalité administrative, considérez-la comme une occasion de rester à la pointe dans votre domaine et de progresser tout au long de votre carrière.




Sources : Ministère de la Santé – Certification périodique des professionnels de santé (mise à jour mars 2025) (La certification périodique des professionnels de santé - Ministère du Travail, de la Santé, des Solidarités et des Familles) (La certification périodique des professionnels de santé - Ministère du Travail, de la Santé, des Solidarités et des Familles); Décret n° 2024-258 du 22 mars 2024 (JO 24/03/2024) (Publication d’un décret précisant les modalités d’application de la certification périodique | Fédération Hospitalière de France) (Publication d’un décret précisant les modalités d’application de la certification périodique | Fédération Hospitalière de France); Rapport IGAS novembre 2022 – État financier de la certification périodique (La certification périodique des professionnels de santé - Ministère du Travail, de la Santé, des Solidarités et des Familles) (); Fédération Hospitalière de France – Publication d’un décret… certification périodique (9/04/2024) (Publication d’un décret précisant les modalités d’application de la certification périodique | Fédération Hospitalière de France) (Publication d’un décret précisant les modalités d’application de la certification périodique | Fédération Hospitalière de France); Egora – Certification périodique : un décret précise son contenu (27/03/2024) (Certification périodique : un décret précise (enfin) son contenu | Egora) (Certification périodique : un décret précise (enfin) son contenu | Egora).

 
 
 

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